SGUM : soulager naturellement le syndrome génito-urinaire de la ménopause
Sécheresse vaginale, douleurs pendant les rapports, infections urinaires à répétition… Ces symptômes ne sont pas une fatalité.
Le SGUM – ou syndrome génito-urinaire de la ménopause – est une conséquence fréquente mais souvent taboue de la baisse des œstrogènes à la ménopause. Pourtant, une approche globale, naturelle et personnalisée peut considérablement améliorer le confort intime et la qualité de vie.

Qu’est-ce que le SGUM ?
Le SGUM regroupe l’ensemble des troubles génitaux et urinaires liés à la carence œstrogénique observée en postménopause. Il remplace l’ancien terme « atrophie vulvo-vaginale » et englobe à la fois les symptômes :
Génitaux :
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Sécheresse, brûlures, démangeaisons vaginales
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Amincissement des muqueuses, perte d’élasticité
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Douleurs ou saignements pendant les rapports (dyspareunie)
Urinaires :
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Infections urinaires récidivantes
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Mictions fréquentes ou douloureuses
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Urgence ou fuites urinaires
Pourquoi survient-il à la ménopause ?
Avec la chute des œstrogènes, les tissus vulvo-vaginaux s’amincissent, deviennent plus secs, moins vascularisés, plus fragiles. La flore intime est également déséquilibrée, ce qui fragilise les défenses locales.
Cette évolution est naturelle… mais elle n’est pas inévitable ni irréversible.


Le regard de la naturopathie sur le SGUM
La naturopathie propose une approche intégrative qui vise à :
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restaurer l’équilibre hormonal par des moyens naturels,
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régénérer les muqueuses,
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renforcer les défenses locales,
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accompagner les émotions souvent associées à cette période de transition.
Quels outils naturels pour soulager le SGUM ?
Alimentation adaptée
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Apport de phyto-œstrogènes (soja, graines de lin, légumineuses)
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Oméga-3, antioxydants, vitamines A et E pour nourrir les tissus
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Hydratation suffisante et alimentation anti-inflammatoire
Plantes médicinales
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Actée à grappes noires, sauge sclarée, gattilier : soutiennent l’équilibre hormonal
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Shatavari (en médecine ayurvédique) : tonifie les tissus génitaux féminins
Soins locaux naturels
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Huiles végétales adoucissantes (calendula, millepertuis…)
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Crèmes ou ovules hydratants bio, sans perturbateurs endocriniens
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Lubrifiants doux à base d’eau pour les rapports
Hygiène de vie & exercices
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Activité physique modérée pour stimuler la circulation
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Exercices de Kegel (renforcement du périnée)
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Pratiques douces : sophrologie, relaxation, respiration consciente

Un accompagnement global pour retrouver votre confort intime
Je suis Anne-Sophie Dolhem, naturopathe à Vaison-la-Romaine et Buis-les-Baronnies. J’accompagne les femmes en période de périménopause ou ménopause dans la prise en charge globale des troubles intimes liés au SGUM.
Chaque femme est unique. Mon approche est personnalisée et non invasive, et peut inclure :
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un bilan complet de terrain,
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un programme alimentaire et phytothérapeutique,
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des soins adaptés à vos besoins spécifiques.
Vous ressentez des signes du SGUM ?
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Vous souffrez de sécheresse intime ou d’inconfort lors des rapports ?
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Vous avez des cystites ou infections urinaires fréquentes ?
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Vous souhaitez une approche naturelle, sans hormones de synthèse ?
N’attendez pas que les symptômes s’aggravent.
Je vous accompagne avec douceur et bienveillance pour restaurer votre équilibre.
Anne-Sophie Dolhem – Naturopathe à Vaison-la-Romaine et Buis-les-Baronnies
Consultations en cabinet ou à distance
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Peut-on traiter le SGUM sans hormones ?Oui. Une approche naturopathique peut améliorer nettement les symptômes sans recourir systématiquement aux traitements hormonaux : alimentation adaptée, plantes médicinales, soins locaux naturels et hygiène de vie sont des leviers efficaces.
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Le SGUM, c’est quoi exactement ?Le SGUM (Syndrome Génito-Urinaire de la Ménopause) regroupe les troubles intimes liés à la baisse des œstrogènes après la ménopause : sécheresse vaginale, douleurs lors des rapports, cystites, irritations, incontinence.
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Le SGUM peut-il altérer la vie sexuelle ?Oui, mais ce n’est pas une fatalité. Les douleurs pendant les rapports (dyspareunie) sont fréquentes, mais peuvent être soulagées grâce à un accompagnement ciblé : lubrifiants naturels, soin des tissus, travail émotionnel autour de la ménopause.
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Que faire contre la sécheresse vaginale ?Outre l’apport en phyto-œstrogènes et les plantes régénérantes, des huiles végétales adoucissantes, des crèmes hydratantes naturelles ou des ovules bio permettent d’hydrater durablement les muqueuses.
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Est-ce que le SGUM est fréquent ?Oui. Selon les études, entre 27 % et 84 % des femmes ménopausées souffrent de symptômes du SGUM. Pourtant, beaucoup n’osent pas en parler ou ne savent pas qu’il existe des solutions naturelles.
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Que propose Anne-Sophie Dolhem pour accompagner ce type de problématique ?Anne-Sophie Dolhem, naturopathe à Vaison-la-Romaine et Buis-les-Baronnies, propose un accompagnement individualisé mêlant rééquilibrage alimentaire, phytothérapie, gestion du stress, soins corporels et hygiène de vie, en cabinet ou à distance.
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Comment savoir si ma prise de poids est liée au stress ?Certains signes sont caractéristiques : prise de poids rapide et localisée au ventre, fatigue au réveil, irritabilité, troubles du sommeil, cycles irréguliers ou appétit instable. Un bilan naturopathique permet d’évaluer les liens entre stress, hormones et métabolisme.
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Est-ce que le stress augmente les envies de sucre ?Tout à fait. Le stress modifie les neurotransmetteurs (comme la sérotonine) et peut entraîner des compulsions sucrées ou des fringales émotionnelles. Une alimentation adaptée et un bon équilibre du microbiote intestinal peuvent réduire ces pulsions.
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Existe-t-il des plantes pour limiter les effets du stress sur le poids ?Oui. Des plantes adaptogènes comme la rhodiola, l’ashwagandha ou les champignons médicinaux (Reishi, Cordyceps) aident à réguler le stress et à soutenir les glandes surrénales. Elles peuvent être utilisées en complément d’une prise en charge naturopathique personnalisée.
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Le stress peut-il vraiment faire grossir sans manger davantage ?Oui. Le stress chronique entraîne une surproduction de cortisol, une hormone qui favorise le stockage des graisses, en particulier au niveau abdominal. Même sans augmenter les apports caloriques, le métabolisme est modifié et le corps peut stocker davantage.
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Pourquoi la prise de poids liée au stress touche-t-elle surtout le ventre ?Le cortisol stimule l’accumulation des graisses viscérales, c’est-à-dire autour des organes. Cette graisse abdominale est très sensible aux fluctuations hormonales liées au stress, à l’insuline et aux déséquilibres émotionnels.
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Quelle est la différence entre tension nerveuse et hypertension ?La tension nerveuse est un état transitoire, souvent lié à un événement ou une émotion. L’hypertension est une pathologie mesurée cliniquement sur plusieurs semaines.
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Comment baisser naturellement sa tension ?Une hygiène de vie adaptée, la gestion du stress, l’activité physique douce, une alimentation hypotensive, certaines plantes et techniques naturelles peuvent contribuer à réguler la tension.
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Le stress peut-il provoquer une hypertension à long terme ?Oui, lorsqu’il devient chronique, le stress agit comme un facteur aggravant ou déclencheur de l’hypertension artérielle.
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Faut-il arrêter son traitement médical ?Non. La prise en charge naturelle est complémentaire à un suivi médical, et ne remplace pas une prescription. Il est essentiel de dialoguer avec son médecin.